Narita Boy

Narita Boy n'avait pas besoin d'être très bon. Il a été en grande partie financé par crowdfunding sur Kickstarter, et une fois sorti, il aurait pu être comme beaucoup de jeux Kickstarter, ou il aurait pu être un échec qui a été lancé et s'est effondré, mais l'équipe de Studio Koba a vraiment réussi ce coup-ci. Ce n'est pas une expérience qui change la vie ni un voyage profondément spirituel, mais je pense que c'est un jeu rétro amusant qui comprend qu'il s'agit toujours d'une sortie moderne. C'est le genre de projet qui incite les grands éditeurs à prendre une équipe au sérieux, et qu'ils décident de s'associer à un éditeur ou de rester indépendants, je soupçonne que nous verrons d'autres productions de Studio Koba arriver... euh, dans le flux de données.

Narita Boy est une réussite dans presque tous les aspects, et j'ai pleinement profité de mon temps à affronter la menace Stallion. Mais bien qu'il respire la nostalgie et le style des années 80, il y a bien plus qu'un simple voyage dans le passé – et les combats à l'épée amusants et l'exploration d'un univers spectaculaire n'en sont que la moitié.

Malgré toutes les difficultés perçues dans Narita Boy, tout peut être pardonné si vous appréciez un monde qui s'immerge complètement dans la technologie d'une époque révolue. Il y a quelque chose à dire sur le fait de courir contre le vent numérique sur un cheval CRT dans un monde pixélisé qui ressemble au jeu Star Wars sur SNES mais qui rappelle ce niveau tristement célèbre de Battletoads. Si vous connaissez exactement l'ambiance dont je parle, vous devez absolument jeter un coup d'œil à Narita Boy. Après tout, le sort du Royaume Numérique repose entre vos mains.

"Le style plutôt que le fond" est une expression réflexivement galvaudée qui a perdu de son sens avec le temps. Bien que je sois en partie d'accord avec son utilisation ici pour souligner certains défauts de gameplay, je ne pense pas que cela devrait ternir les immenses réussites de Narita Boy. Studio Koba a conçu ce qu'il connaissait le mieux – une nostalgie des années 80 empreinte de respect, une techno-spiritualité inspirée, un magnifique art 2D, et plus encore – avec une sincérité rarement observée de nos jours.

Je me suis éclaté avec Narita Boy. Ce n'est pas parfait, mais qu'est-ce qui l'est ? En effet, ça a commencé lentement, mais il ne faut pas longtemps avant d'être capable d'exploits exaltants. Et la fin est brillante, ouvrant la voie à une suite qui sera apparemment un genre entièrement différent. Quel que soit ce genre, je serai là, au premier rang. C'est à vous de sauver le monde. Alors, au travail.

Sans aucun doute, j'ai pleinement profité de mes presque 9 heures passées sur Narita Boy. J'ai adoré l'histoire et vécu l'expérience avec enthousiasme malgré tous ses défauts. Que ce soit la bande originale, les graphismes, l'histoire, le gameplay, ou un mélange de tout cela, Narita Boy possède un charme magique que l'on ne peut ressentir qu'en y jouant soi-même. En bref, Narita Boy est une expérience quasi parfaite et un jeu correct. Il a tellement de style qu'il est facile de considérer ses défauts comme de simples bizarreries.

Narita Boy est visuellement époustouflant et rempli de bonnes idées ; mais pour tout ce qu'il réussit, on peut voir comment il aurait pu faire mieux.

Narita Boy est une aventure 2D curieuse et risquée qui n'est pas toujours ce qu'elle semble être. Les problèmes avec certaines mécaniques de jeu ne devraient dissuader personne de parcourir l'histoire, et la collection passionnée de thèmes à tendance synthwave de sa bande-son se démarque d'une manière ou d'une autre au milieu d'une mer de nouveaux titres qui partagent ces penchants sonores. Narita Boy sera plus percutant et absorbant pour ceux qui s'immergent pleinement dans son récit, et ce qui peut apparaître au premier abord comme un non-sens écrit à la hâte façonne un univers fictif lyrique et cohérent. Cédez à ses mystères et profitez-en.

Avec ses graphismes rétro, sa musique, son histoire émouvante qu'il raconte de fond en comble, c'est un jeu qui ravive la nostalgie des années 80 avec ses références disséminées de part et d'autre.

Le Studio Koba décrit leur jeu comme "une expérience poétique, subtile et d'une beauté artisanale", et honnêtement, il est difficile d'être en désaccord. Ce qu'ils ont créé ici est un jeu de plateforme époustouflant dans lequel vous apprécierez chaque seconde passée - et bien que j'aie apprécié mon temps de jeu sur PS5, j'ai l'impression que c'est un jeu parfait à lancer sur votre Nintendo Switch, à vous installer confortablement dans votre endroit de jeu préféré et à vous perdre complètement dedans. Et avec la bande-son complète disponible sur Spotify, vous pouvez obtenir cette dose de nostalgie même lorsque vous n'êtes pas près de votre console.

Témoignage d'une perfection artisanale en pixel art, Narita Boy rend hommage aux classiques d'arcade des années 80 tout en s'appuyant sur les fondations qu'ils ont posées.

Narita Boy, le premier jeu de Studio Koba, est un excellent jeu d'action-aventure inspiré des années 80, avec du cœur. C'est à vous de pénétrer dans le Royaume Digital et de vaincre le néfaste HIM et ses Hackernauts avec votre Techno-Épée radicale.

Narita Boy séduit immédiatement grâce à ses magnifiques graphismes pixélisés et à sa bande originale absolument fracassante, digne des années 80. Heureusement, la nostalgie des années 80 n'est pas tout ce que ce jeu a à offrir, car la narration est étonnamment émouvante, et l'histoire du Royaume Numérique est intéressante, bien qu'un peu chargée en jargon techno. Frapper avec l'Épée Techno et tailler les ennemis en pièces est immensément satisfaisant et le défi est parfaitement dosé. Mise à part la mécanique de saut, c'est facilement l'un des jeux d'action-plateforme 2D pixélisés les plus aboutis auxquels j'ai joué ces dernières années et je vous recommande vivement de charger votre console Narita One et de devenir NARITA BOY !

Narita Boy est un effort louable pour le premier titre de Studio Koba, avec sa présentation magnifique et un gameplay qui reste frais, bien que certains aspects auraient manifestement pu être améliorés.